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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 23:25

Le contexte est à la crise; pour beaucoup cela a pour conséquence de se concentrer sur son quant à soi.

Pourtant, il reste des personnes qui s'engagent pour la première fois. Pour leur ville, pour la chose publique, pour la politique, pour faire naître un espoir et porter un projet collectif.

A Angoulême, l'heure est globalement à l'attentisme. L'UDI cherche à s'enraciner, l'UMP à panser ses plaies. Autant de choses nécessaires sans doute... mais qui font dérailler le calendrier.

L'heure de l'union n'est pas encore arrivée... faisons en sorte que ce soit l'heure de l'engagement!

 

Les municipales ont cette spécificité qu'elles appartiennent aux habitants. C'est leur choix; pour leur ville, autour d'un projet, d'une équipe et d'un Maire.

Parce que ce choix doit rester pleinement leur propriété, il me semble nécessaire d'avancer.

 

 

 

 

Je suis passionné par la fonction de maire. Sans doute parce que mon métier est de travailler dans le service public hospitalier. J'y ai appris le sens de valeurs fortes comme la continuité et la neutralité. Etre Maire c'est vouloir que les services de la commune oeuvrent pour le bien de tous, chaque jour et dans la durée.

 

Etre Maire c'est aussi savoir gérer une équipe, des projets et un budget. Comme directeur financier de Girac, comme chef de cabinet d'un ministre, aujourd'hui comme chef d'un établissement de proximité je touche du doigt la richesse de cette expérience professionnelle que je veux mettre au service d'Angoulême.

 

 

 

 

Il faut rassembler très largement. Au delà des étiquettes; au delà des frontières de gauche et de droite; au delà des clans et des haines.

A Angoulême, Philippe Lavaud est enfermé dans son château avec une petite équipe.

La gauche avec lui a abdiqué tous ses idéaux et renié l'héritage des Lumières qu'elle est censé vouloir faire vivre. Place au capitalisme le plus dérégulé, aux zones commerciales froides et anonymes; aux parkings pour des consommateurs sans visages, aux transports collectifs qui écrasent notre patrimoine et nos équilibres.

 

Il ne s'agit pas de vouloir changer de camp. Il ne s'agit pas de donner la ville à d'autres. Il ne s'agit pas d'attendre les accords putatifs entre Borloo et Copé. Il faut construire une alternative qui découlent des attentes des angoumoisins.

 

Je suis un simple élu local. On me reconnait travailleur et persévérant. D'aucuns me décrivent comme abordable et simple. Je n'ai pas d'attache partisane. Je n'ai pas d'autres fidélités que celle dûe aux habitants  de cette ville.

Je comprends le ras-le-bol envers la politique. Trop de discours sans lendemain; trop de joutes feintes, trop de reniements. Il est temps de reprendre le manche, de rompre avec les castes qui se partagent les places. Ce système là est mort et nous a déjà bien affaibli!

S'engager c'est créer de la convivialité et de la joie partagée par un travail collectif; c'est donner pour construire quelque chose qui nous dépasse. C'est croire que l'on peut agir sur le monde lorsque l'on parvient à changer les choses autour de soi.

 

Je crois que la vie d'une commune est le dernier niveau où les politiques ont encore de réels leviers d'action. C'est pourquoi notre engagement et notre union sont nécessaires.

 

Faire de la politique est un engagement. C'est aussi une stratégie. Pour Angoulême, il nous faut parvenir à s'unir. Lorsque les partis auront fini par faire leur choix, il nous faudra être intelligents collectivement. Très clairement, je dis ici que nous devrons choisir de soutenir celui qui se trouvera le mieux placé pour l'emporter.

 

Que ce soit sur l'emploi, sur les questions d'éducation et de famille ou sur la façon de gérer la municipalité, il est temps de porter un projet et de créer une équipe large. Vous voulez une ville ambitieuse? Rejoignez Angoulême Ambition!

 

 

 

 

 

 

 

 

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